[Les fêtes] opposent en effet une explosion intermittente à une terne continuité, une frénésie exaltante à la répétition quotidienne des mêmes préoccupations matérielles, la fièvre de ces instants culminants au tranquille labeur des phases atones de son existence.
CAILLOIS, in L’homme et le sacré
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on mercredi 6 août 2008
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